A Paris les jours sansJe deviens une étrangèreAveuglée d’un ciel trop blanc Dont la poitrine se serre Dans le froid étouffantL’indifférente atmosphèreLe gris-noir environnant Des avenues sans mystère A Paris les jours sansTu te fermes comme un livreAmour abonné absentPlus rien de moi ne t’enivre Est-ce toi mon amantDans ce regard qui esquiveDans les mots trop hésitantsD’un fantôme à la dérive ? Eternels impatientsSommes nous de gourmandisesD’un bonheur incandescentQui fait fondre la banquise
Réchauffe les continentsRedresse la tour de PiseMets nos voiles sous le ventEt nous emmène à Venise A Paris les jours sansC’est le monde qui me quitteMais que deviendrais-je sansMe blottir toute petite Dans tes bras m’accueillantMe disant « vas pas si vite ! »Un jour avec un jour sansLe bonheur çà se mérite
A Paris les jours sansDe passion je n’en ai qu’uneDes blessures j’en ai centAlors poses sur ma lune Tes deux mains frémissantComme le vent sur la duneQue même par mauvais tempsPlus rien ne nous importune
Quand nous chanterons le temps des cerises Et gai rossignol et merle moqueur Seront tous en fête Les belles auront la folie en tête Et les amoureux du soleil au cœur Quand nous chanterons le temps des cerises Sifflera bien mieux le merle moqueur
Mais il est bien court le temps des cerises Où l'on s'en va deux cueillir en rêvant Des pendants d'oreilles Cerises d'amour aux robes pareilles Tombant sous la feuille en gouttes de sang Mais il est bien court le temps des cerises Pendants de corail qu'on cueille en rêvantQuand vous en serez au temps des cerises Si vous avez peur des chagrins d'amour Evitez les belles Moi qui ne crains pas les peines cruelles Je ne vivrai point sans souffrir un jour Quand vous en serez au temps des cerises Vous aurez aussi des peines d'amourJ'aimerai toujours le temps des cerises C'est de ce temps-là que je garde au cœur Une plaie ouverte Et Dame Fortune, en m'étant offerte Ne pourra jamais fermer ma douleur J'aimerai toujours le temps des cerises Et le souvenir que je garde au cœur
English translation : Cherry Time When we will sing of the cherry timeAnd gay nightingale and mocking blackbirdWill all be happy as locksThe fair ladies will have folly in mindAnd lovers sunshine in their heartsWhen we will sing of the cherry timeThe mocking blackbird will chirp even better But it’s quite short, the cherry timeWhen the two of us go dreaming as we pickCherry earingsCherries of love in matching dressesFalling under the leaves like drops of bloodBut it is quiet short, the cherry timeCoral pendants we pick while we dream When you will be in the cherry timeAnd you’re afraid of love’s sadnessAvoid the fair ladiesI not fearing the cruel painsI will live not one day without sufferingWhen you will be in the cherry timeYou too will feel the sadness of love I will always love the cherry timeIt’s from this time that I keep in my heartAn open woundAnd Lady Fortune being offered to meCould never relieve my painI will always love the cherry timeAnd the memory I keep in my heart
Un petit air innocent. On l'appelait rose, elle était belle,
À sentait bon la fleur nouvelle,
Rue Saint-Vincent. Elle avait pas connu son père, Elle avait plus de mère, Et depuis 1900,A’ demeurait chez sa vieille aïeule Où qu'à s'élevait comme ça, toute seule, Rue Saint-Vincent. À travaillait déjà pour vivre Et les soirs de givre, Dans le froid noir et glaçant, Son petit fichu sur les épaules, À rentrait par la rue des Saules, Rue Saint-Vincent.
Elle voyait dans les nuit gelées, La nappe étoilée, Et la lune en croissant Qui brillait, blanche et fatidique Sur la petite croix de la basilique, Rue Saint-Vincent. L'été, par les chauds crépuscules, A rencontré Jules, Qu'était si caressant, Qu'à restait la soirée entière, Avec lui près du vieux cimetière, Rue Saint-Vincent. Et je petit Jules était de la tierce Qui soutient la gerce, Aussi l'adolescent, Voyant qu'elle marchait pantre, D'un coup de surin lui troua le ventre, Rue Saint-Vincent. Quand ils l'ont couché sur la planche, Elle était toute blanche, Même qu'en l'ensevelissant, Les croque-morts disaient que la pauvre gosse Était crevé le soir de sa noce, Rue Saint-Vincent. Elle avait sous sa toque de martre,
Sur la butte Montmartre, Un petit air innocent. On l'appelait rose, elle était belle, À sentait bon la fleur nouvelle, Rue Saint-Vincent.
English translation : RUE SAINT VINCENT She had not known her fatherHer mother was goneAnd since 1900She lived in her old grandma’ s houseWhere she took care of herself She was already working for livingAnd on frosty evenings In the black freezing coldHer little shawl aroun her shouldersShe came home by the rue des SaulesRue Saint-Vincent. In these frozen nightsShe saw the curtain of the starsAnd the crescent moonShining white and fatefulOn the little croce of the basilicaRue Saint-Vincent. By the warm summer twilightShe would meet Jules,Who was so tenderShe would stay all evening longWith him near the old cemeteryRue Saint-Vincent. And the young Jules was a good-for-nothingPimping the girlsWhen this kidSaw she was not playing the gameHe stabbed her in the stomachRue Saint-Vincent. When they laid her outShe was all white.The undertakers burying herSaid that the poor childCroaked on her wedding day
Beneath her marten hatOn the Butte Montmartre,She had an innocent little air.She was called Rose, she was beautifulWith a scent like a young flowerRue Saint-Vincent.
Paroles ... Romantique, mélancolique & émouvant. Voix de femme parlée @ 1'37. ...Romantique, mélancolique & émouvant. Voix de femme parlée @ 1'37. Chanteuse, guitare twangy, piano & rythmique.
A chaque fois que je t’attendsDans les rues sombres où file le vent A chaque fois, j’éprouve cette mélancolie A chaque fois que je surprends Dans tes carnets, nos regards fuyants Toutes ces fois où dansent nos évidences Sur la toile jaunie de nos souvenirs Un rire, une larme, les vagues de la mélancolie Sous le grand tilleul où s’amassent les feuilles J’attends… Peut-être qu’un jour… ? Tu seras de retour… (Parlé) Des volets bleus, une maison, Sur la jetée de Quiberon, Les jours heureux… Des nuées d’oiseaux migrateurs, Comme une résonnance de ton absence.
Peut-être un jour dans cette allée Reviendras-tu passer l’été ? Peut-être ici, demain, peut-être au mois de Mai ? Dans la lueur de tes nuits blanches Une caresse, une présence Comme une douce amère incertitude…
English translation :
PERHAPS ONE DAY Each time I wait for you In the dark streets where the wind blows Each time, I feel this melancholy Each time I catch In your notebooks, our fleeting looks All those times where our evidences dance On the yellowed canvas of our memories A laugh, a tear, waves of melancholy Under the big linden tree where leaves are piling up I'm waiting ... Perhaps one day ...? You will be back ...
(Spoken) Blue shutters, a house, On Quiberon quay, Happy Days… Flocks of migratory birds, Like a resonance of your absence.
Perhaps one day in this alleyway Will you come back for the summer? Perhaps here, tomorrow, Perhaps in the month of May? In the glow of your sleepless nights A caress, a presence Like a bitter sweet uncertainty ...
Etre un amoureux c’est s’faire déborder par une vague indéterminéeRaz de marée imprévu géantVraiment déroutantEtre un amoureux c’est faire des nœuds avec des sentiments emmêlésAutour desquels émus on s’enrouleEn perdant la bouleOn a le cœur grand grand grand comme un océanOn fait des conneries On pleure comme on ritOn est tout tremblantsOn passerait son temps à danserVers le ciel les deux bras levésQu’on soit soulevés par le ventNous semble évident Quand t’es amoureux tu t’envoles à deux au dessus de ce monde tragiqueDans une sorte de téléphériquePlutôt féériqueQuand t’es amoureux t’es pas très sérieuxT’es comme la guitare des manouchesTu veux que le soleil qui se couche T’embrasse sur la boucheTu trouves l’amour beau beau beau comme un paquebotQu’importe la merT’en as rien à faire S’il tombe de l’eauEt dans les bourrasques tu parsSans aller vraiment quelque partT’es juste un brasier, une bouleDe feu et de houle Mais les amoureux sont sur deux étoiles qui s’éloignent un jour tout doucementQuand viennent les désenchantementsA la fin du balD’avoir trop dansé les voilà lassésVoyez leurs deux mains qui se détachentVoyez les pétales qu’on arrache Aux fleurs de l’étéIls s’en vont au loin loin loin sans comprendre rienSont aveugles et sourdsOnt les bras trop courts Meurent de chagrinTous les deux les voilà partis Dans la ronde des galaxiesEt où finit leur histoire ?Dans le grand trou noir
Là haut près du ciel tu marches sur un filJ’ai calmé ma peur pour t’y retrouverUn seul souffle d’air nous ferait tomberTout est si fragile Pourtant peu à peuEn fermant les yeuxNos mains se découvrentNos corps se retrouvent On est juste l’un et l’autre qui s’aimentOn est juste l’un et l’autre qui s’aimentC’est tombé sur nous Comme çà d’un seul coupÇà donne même la frousse On est juste l’un et l’autre qui s’aimentOn est juste une femme et un homme qui s’aimentC’est pas si souventQu’on croise le ventDe la folie douce Un jour tu m’appelles du bout de la terreJ’écoute ta voix qui vient, qui s’enfuitChez toi c’est le jour chez moi c’est la nuit Et mon cœur se serre Pourtant peu à peuEn fermant les yeux Nos mots se découvrentNos âmes se retrouvent On est juste l’un et l’autre qui s’aimentOn est juste l’un et l’autre qui s’aimentC’est tombé sur nous Comme çà d’un seul coupÇà donne même la frousse On est juste l’un et l’autre qui s’aimentOn est juste une femme et un homme qui s’aimentC’est pas si souventQu’on croise le ventDe la folie douce Et si d’aventure l’image s’arrêteJe sais malgré tout qu’on va se croiserDes années plus tard un beau soir d’étéComme un jour de fête Et là peu à peuEn fermant les yeuxNos mains se découvrentNos corps se retrouvent … On est juste l’un et l’autre qui s’aimentOn est juste l’un et l’autre qui s’aimentC’est tombé sur nous Comme çà d’un seul coupÇà donne même la frousse On est juste l’un et l’autre qui s’aimentOn est juste une femme et un homme qui s’aimentC’est pas si souventQu’on croise le ventDe la folie douce
Mon infidèle innocenceSur la mer beau voilierTu es partie pour ne plus revenirSous les grands Alizés Toute ma vie pour ces étoilesQui peuplaient mon cœur d’enfantPour ces trésors ces matins aux yeux pursCes serments et ces grands sentiments Je partais pour la batailleLe bras sûr le regard fierMais j’ai laissé sur le couteau du tempsMes larmes et mon sangMa vie est un ballon rougeLâché au vent de l’hiverUn grand oiseau m’accompagne un momentJe m’en vais pour le soleil couchant Sable de duneOiseau de lune Espoir des soirs caressantsMon insouciance, ma transparenceJe vous cherche infinimentCes heures lentes Me désenchantentMoi qui n’avait peur de rienPages du livreQui se délivrentJe ne veux pas savoir la fin Je voyais ma citadelleDans un éternel printempsMais dans ma vie il fait chaud il fait froid Un jour noir, un jour blancPrès de son château de sableS’endort mon prince charmantJoli amour ô mon soleil cachéJe vais te bercer tout doucement Sable de duneOiseau de lune Espoir des soirs caressantsMon insouciance, ma transparenceAvec toi elle me revientCes heures lentesMe désenchantentMais je n’ai plus peur de rienPages du livre Qui se délivrentNos vies sont entre nos mains
Paroles ... Tendre & délicat. Chanteuse, piano & accordéon.
Que tu soies làQue tu soies loinC’est la même choseC’est un mystereTu es dans l’airDans l’univers Je n’pense a rien Cà fait du bienJ’entends la mer Qui chante au loin Je n’pense a rien Cà fait du bienJ’entends la mer Qui chante au loin Je les mets la Comme un espoirJe les retrouve Quand tu pars Quand tu t’en vasTout ce qui resteMon si bel hommeC’est la vie , c’est Tous nos regretsTous nos secrets Donne moi la mainIl n’y a plus rienJ’attends le soir Et puis demain Tu seras loinTu seras làMon ame libreEntre ton ombreEt la lumiereL’endroit l’envers Je n’pense a rienCà fait du bienJ’entends la mer Qui chante au loin Il n’y a plus rien
Paroles ... Tendre & délicat. Chanteuse, piano & violoncelle.
Pour un sourire quand tu passesQuand tu passes ta mainSur mes vingt ansTes baisers que rien ne remplacentRien ne remplace ta main…j’oublie le temps… Pourtant l’on sait que le temps passeSur les vieux amantsEt que soudain l’hiver les glaceDe cheveux blancsQue souvent leurs rêves s’effacentMeurent quand ils dorment trop longtempsEt le temps passe… Pour un sourire quand tu passesQuand tu passes ta mainSur mes vingt ansTes baisers que rien ne remplacentRien ne remplace ta main…j’oublie le temps… Pour retenir le temps qui passeSur les vieux amantsQue jamais l’hiver ne remplaceTous leurs printempsQuelques soient les corps qui s’enlacentSi leurs mains se serrent pour longtempsEt l’amour passe… Pour un sourire quand tu passesQuand tu passes ta mainSur mes vingt ansTes baisers que rien ne remplacentRien ne remplace ta main…j’oublie le temps… Pour arrêter le temps qui passe Sur les vieux amantsQue jamais l’hiver ne les glaceDe cheveux blancsQue jamais leurs rêves ne se lassentReste leurs fièvres d’avantLa vie se passe…
A l’abri entre deux collinesY’a un port aux toitures grisesIl est connu pour ses sardinesEt le portail De son église Au bout des plages de galetDes femmes aux bien charmants visagesViennent dire un chagrin discretAux navires qui S’en vont au large Arrêtons nous encoreDans le petit portQuand se lève, chante, ou s’endortLe vent du nord
Un bateau aux longues mâturesVient lentement sur le chenalIl s’avance entre les hauts mursGrand goêlandSous le ciel pâle On donne le bonjour aux marinsOn remarque le capitaineDes jeunes filles agitent leurs mainsRougies de froids Dans les mitaines Près des quais se trouve un jardinOù les pelouses sont vert pommeUne statue blanche s’y tientSans doute celle D’un grand homme Le parc est plein de chaises videsOn se demande à quoi elles pensentAux vielles dames , aux amours timidesA l’hiver Ou à l’innocence
Je n’ai de rôle que par absence dans la coulée de la mémoire Que m’y déplaise en apparence, d’entre les formes la plus choisieSans que m’advienne que je devienneLa couturière de mon silence J’aurais vécuD’avoir étéPar temps pareil Boucles d’oreillesEt cheveux blonds
Aux rêves un peu plus bleu du cielQue je regarde à demeurerSi près de toi,Si près de moiSi près passé S’en passa quoiDe quoi jouerA double jeuDu jeu d’aimerA noir ou blanc ?Dans quelle main ?Ce sera qui ?Pour finir quoi ?Je prends la dame à te laisser ne pas gagnerA te laisser seule sans savoirQui te regarde, à quoi sers-tu ?Sans rester seuleAvec ni moi pour te garder ni toi pour perdre au jeu d’aimer Dans le miroirUn peu de sel sous les paupières Il me sera sans conséquencesQu’ainsi la fuite dans la mémoire Qu’à même pas, quel souvenir de lui s’effaceL’autre écritureSans l’autre signeQue de sa main l’oubli de moi sur mon épaule Ici l’amour est sans duréeDans le hasard que j’organiseNe m’accoutume, qu’il ne soit l’autreDans le mélange de mes journéesSi d’aventure j’ouvre la porteSur l’autre absence de mon partage
Paroles ... Chanson années 40. Cabaret. Sensuel & mélancolique. Chanteuse, ...Chanson années 40. Cabaret. Sensuel & mélancolique. Chanteuse, orchestre à cordes, piano & trompette.
C’est fini Mon chériC’est finiC’est la vieJe m’ennuieMais je t’oublieC’est la vieTant pis Nous n’irons plus dans cette chambre bleueAvec un balcon sur la merNous n’aurons plus tous ces matins grisEnlacés mais solitaires
English translation :
It’s over That’s lifeIt’s overMy darlingThat’s lifeI am boredBut I forget youThat’s lifeToo bad We’ll never go again to that blue roomWith a balcony over the seaWe’ll never again see those grey morningsEntwined but alone
Version instrumentale. Années 40. Romantique, raffiné & sensuel. ...Version instrumentale. Années 40. Romantique, raffiné & sensuel. Orchestre à cordes, bois, piano & cuivres.
Paroles ... Chanson en français. Mystérieux & atmosphérique. Voix d'homme & de ...Chanson en français. Mystérieux & atmosphérique. Voix d'homme & de femme, percussions & programmation.
Interprètes : Eric Daniel (guit)
Himiko Paganotti (vx)
Des paysages dessinent ton visage J’inonde ta peau de mes larmes de sel Et je berce doucement ton image Dans le creux de mon âme temporelle
J’entends le train de ta nuit envahir Notre chambre embrumée de silence Des ailes dans un souffle écorchent mon désir Où trouverai-je la force providence ?
Ris mon ange, abreuve-toi de mon sel
Et quand ton aile effleurera ma joue
Quand ton souffle éteindra l’étincelle D’or sera parée ma nuit éternelle.
Landscapes describe your face I flood your skin with my salty tears And I gently cradle your image In the hollow of my temporal soul
I can hear the night train invading Our bedroom in a mist of silence Wings with one breath scorch my desire Where dear providence, will I find the strength?
Laugh my angel, drink in my salt And when your wings brushes against my cheek When your breath puts out the candle With gold my eternal night will attired
Paroles ... Chanson années 50. Sentimental & émouvant. Chanteuse, piano & ...Chanson années 50. Sentimental & émouvant. Chanteuse, piano & orchestre à cordes.
Je n’ai que ton amourPour baigner de douceurLa fuite de nos joursOublier nos malheurs.Cette route insensée Epuise notre sangPourquoi vivre accabléLorsque l’on s’aime tant Je n’ai que ton amourPour enflammer ma vieDans ta force infinieJe me love sans détourTu réchauffe mon cœurApaise mon chagrinPourquoi tout ce bonheur Aurait-il une fin Je n’ai que ton amourDans mon sang dans ma chairEt ma gorge se serreAttendant ton retourDes automnes durant.Le bois mort de nos viesCouvrira nos printemps Et nos amours finis
English translation :
I’ve only got your love I’ve only got your loveTo sweetly batheThe passing of our daysTo forget our unhappinessThis road without senseDrains us of blood,Why live despondentWhen we
love each other so much I’ve only got your loveto light up my lifeI unhesitatingly bury myself In your infinite strengthYou recandle my heaertSweeten my sadnessWhy must all this happinessCome to an end I’ve only got your loveIn my flesh and bloodAnd the tears well upAwaiting your returnFor so many autumnsThe dead wood of our livesWill cover our springtimesAnd our lost love
Paroles ... Chanson française dans le style des 60s. Tendre & sentimental. ...Chanson française dans le style des 60s. Tendre & sentimental. Chanteuse, guitares électriques et acoustiques, orgue, section de cordes & rythmique.
La main dans la main, traverser les boulevardsLes yeux dans les yeux comme un roman de gare
J’ai toujours sur moi, un pola de toi.
Marcher sous la pluie avec toi dans la nuit
C’est pas un problème, dis moi juste «
je t’aime
»
Les bijoux, les fleurs, je vois la vie en couleur.
Je me demande tous les jours, que ferais-je sans toi,
Et tu vois.
Il paraît bien que l’amour, oui ça ressemble à ça.
Quand viendra le jour où tu ne seras plus là
Tu sais mon amour j’aurai toujours sur moi.
Tu sais devines quoi? Un pola de toi.
Je me demande tous les jours, que ferais-je sans toi,
Et tu vois.
Il paraît bien que l’amour, oui ça ressemble a ça.
Je me demande tous les jours, que ferais-je sans toi,
Et tu vois.
Il paraît bien que l’amour, oui ça ressemble à ça.
English translation :
ROMANTIC NOVEL
Hand in hand, crossing the boulevards
Eye to eye, like in a romantic novel
I always have on me, a polaroid of you.
Walking in the rain with you in the night
It's not a problem, just tell me “I love you”
The jewels, the flowers, I see life in color.
I wonder every day, what would I do without you
And you see,
It seems love is really like that.
When the day comes when you will no longer be here
You know, my love, I will always have on me
You know, guess what, a polaroid of you.
I wonder every day, what would I do without you
And you see,
It seems love is really like that.
I wonder every day, what would I do without you
And you see,
It seems love is really like that.
Paroles ... Rêveur, mélancolique & sentimental. Solo de guitare acoustique @ ...Rêveur, mélancolique & sentimental. Solo de guitare acoustique @ 1'16. Chanteuse, guitare acoustique, cordes, contrebasse & rythmique.
Tout était beau, tout était bleu, du ciel jusqu'à ses yeux Tout s'est passé en un instant, comme un jeu d'enfant
Je n'avais rien connu de mieux, mon amoureux Cœurs légers, baisers hors du temps, mon bel amant
Rêve éveillé, cheveux au vent Et se cacher comme un jeu d'enfant
Sans un mot, nous faisions tous deux l'amour en feu Non, plus rien n'était important, aussi brûlant
La fin de l'été c'est déchirant Pour tout oublier comme un jeu d'enfant
Son regard glissa peu à peu comme un adieu Les garçons ne sont pas sérieux à 17 ans Comme un jeu d'enfant... English translation : LIKE A CHILDREN’S GAME
Everything was beautiful, everything was blue, from heaven to his eyes
Everything happened in a moment like a children’s game
Paroles ... Chanson en français. Jazz. Confiant & paisible. Voix d'homme & de ...Chanson en français. Jazz. Confiant & paisible. Voix d'homme & de femme, piano, accordéon, basse & batterie.
Interprètes : John Greaves (vx)
Himiko Paganotti (vx)
Sophia Domancich (pn)
David Venitucci (acc)
Simon Goubert (dr)
Bernard Paganotti (bs)
Au jour de fête de ma tête Le soleil éblouit mes rêves Je vois la rose et le muguet Danser au feu de ma gaieté
Brûlent les jours dans un sourire
Couleurs odeurs tout avive La flamme tendre de ma vie Le parfum voluptueux des jours Etourdit le cœur de mes sens
Brûlent les jours dans un sourire
Pourquoi pleurer quand la vie va Le noir destin dort sur la rive Et passe la barque de mon trépasPremier arrêt vers la dérive
Brûlent les jours dans un sourire
Et je rame vers l’au-delà Une rame ici et une rame là Avec la crainte de la fiancée Désordonnée mais décidée Une flamme lèche ma joie Où irai-je si ce n’est là Où reposent tous les sans foi Dans le lit du Nirvana FEAST DAY
The day of my head’s feast day My dreams are dazzled by the sun I see the rose and the lily of the valley Dancing to the fire of my joy The days are burning in a smile
Colours and smells brighten The tender flame of my life The voluptuous perfume of my days Makes dizzy the heart of my senses
Why cry when life is ok The dark destiny sleeps on the bank And the barque of my demise passes by
And I row towards the hereafter An oar here and a oar there With the dread of the betrothed Disoriented but determined
A flame licks at my joy Where will I go if not there Where all the faithless lie in repose In the bed of Nirvana
Paroles ... Chanson en français. Paisible, mélancolique & jazzy. Voix de femme, ...Chanson en français. Paisible, mélancolique & jazzy. Voix de femme, piano & accordéon. Interprètes : Sophia Domancich (pn)
Himiko Paganotti (vx)
David Venitucci (acc)
Je me souviens De cette chambre en ce matin Du lit défait Et du silence assourdissant Votre présence Comme une absence, les yeux fuyants Où étiez-vous ? Où étiez-vous ?
Vous aviez Un air perdu et si lointain Vos yeux bleus A peine voilés qui souriaient Votre visage Fermé au monde, en ce matin Où étiez-vous ? Où étiez-vous ?
Votre départ Inéluctable et sans retour Me déchirait J’étais perdu, inconsolable Me questionnait Qu’avais-je fait de votre amour Où étiez-vous ? Où étiez-vous ?Where were you
I remember That bedroom one morning The bed unmaid And the deafening silence Your presence Like an absence, furtive eyes Where were you
You had A look so lost so distant Your blue eyesAs if veiled but smiling Your face closed to the world This morning
Where were you
Your leaving Ineluctable, no return Tore me apart I was lost unconsolable Left me with the question What had I done with our love Where were you Where were you