Le chant soulage, guérit l'esprit malade.La puissance secrète de l'incantationRachète les errements les plus gravesEt maîtrise le tumulte des passions.L'âme du chantre qui s'épanche dans l'harmonie,Reçoit la rémission de ses tourmentsEt, dans la communion à la sainte poésie,Retrouve la pureté et l'apaisement.
Nous sommes nés sur la Terre de nos pèresNous sommes faits de nombreuses couleurs.Notre but est grand. La paix sur la Terre.Les étoiles seront les témoins de notre succèsDe l’est à l’ouest, du nord au sudVibrent les peuples enchainés.Lève-toi, humanité, les étoiles nous regardent,Et demain nous atteindrons leur splendeur.Lève toi, humanité, L’Histoire nous regardeEt demain, construisons un nouveau Monde de la poussière.Notre Terre, Notre Mère. Soyez en dignes.N’oubliez pas que nous mourrons,Que la vie n’est que poussière redevenant poussière.Nos enfant dépendent de nos choix,Unissez vous si vous pensezQue notre combat est juste.
Entre l’ancien et le nouveau monde Se tient un pont inébranlable. Notre bataillon a traversé la rivière Mais mon cheval et moi nous sommes perdus. Sur la berge il y avait un fort brouillard, On ne voyait rien nulle part. Quelques maisons brûlaient encore Jusqu’au pont il n’y avait que la mort Et sur les bords du chemin, des femmes se tenaient. Un vent blanc a emporté leurs fils dans le brouillard. Cours mon cheval, cours plus vite Sinon nous disparaitrons Comme ces garçons Dans le brouillard de l’ancien monde. Mon cœur s’est percé Quand mon cheval s’est envolé Noir de jais, cheval contre le vent blanc gelé. Je suis de nouveau seul Ulysse Grifmann a surgit du brouillard Il arriva sur un cheval rouge, il me dit «tiens bon l’ami» En avant mes amis, nous avons encore du travail sur les champs Derrière Ulysse, je ne crains aucune brume Hourra Hourra Hourra !